Max Maier

*1884 Zürich ZH †1964

Variantes de nom
Max Maïer
Activité(s)
Photographe d'atelier
Autres activités
Editeur de cartes postales
Lieu(x) de travail
Winterthur ZH 1900 – 1903
Montreux VD ~1904 –
Lyon FRA
Mâcon FRA
Paris FRA

Biographie

Apprentissage chez Hermann Linck. Maître d'apprentissage de Jean Bischoff. Stage chez Charles Reutlinger.
Employé d'Edouard Potterat et de François Vachoux (1915-1920).
Successeur d'Arnold Roessinger (Kursaal 21 et 23, Montreux) et de François Vachoux. Prédécesseur de Rodolphe Schlemmer (Kursaal 21 et 23, Montreux).

Max Maïer effectua son apprentissage entre 1900 et 1903 à Winterthur chez Hermann Linck. Puis il quitta Winterthur pour s'installer à Montreux où il travailla pour Edouard Potterat.
Il effectua différents voyages en France et se rendit à Lyon, Mâcon et Paris, mais également à Calais où il « fit les saisons ». En 1913, Max Maïer épousa une française et reprit l'atelier photographique de son employeur à Saint-Omer.
Lorsque la première guerre mondiale éclata, il retourna en Suisse. Dès 1915, il travailla pour François Vachoux, le successeur d'Edouard Potterat. En 1920, il reprit l'atelier à son compte. Vers 1930, la crise l'encouragea à quitter à nouveau la Suisse pour Calais où il avait encore de nombreuses relations.
A Calais, il reprit un atelier de «photographie d'Art» et dut s'installer à la campagne durant la seconde guerre mondiale. Son atelier ayant subi de gros dégâts durant la guerre, il lui fallut 7 ans pour le reconstruire.
Par la suite, malade, il rentra en Suisse.

Très tôt déjà, Max Maïer devint un spécialiste de la retouche des négatifs et des positifs. Avant d’ouvrir son propre atelier, ses nombreux voyages lui permirent de se former à la photo artistique.
Maïer et Rodolphe Schlemmer, tous deux photographes à l’avenue du Kursaal (21 et 23) à Montreux, étaient experts dans les procédés au charbon, les encres grasses et les gommes bichromatées. Ils proposaient à leurs clients des paysages et des portraits traités de manière artistique.

Lieux